Sincèrement, il y a des tables qui m’échappent régulièrement. C’est alors un vrai plaisir que de s’y attabler. C’est un bon bistrot de quartier travaillant d’arrache pied. En cuisine Jaïs Mimoun, formé chez Rodolphe Paquin, Eric Frechon, passé au petit Tonneau puis au Petit Célestin. Sa force, c’est de ne pas laisser une assiette en paix. Chacune d’elle est travaillée au corps, à la saveur témoin cette salade de sot-l’y-laisse de poulet au jus de viande ou encore un joyeux pigeon de Racan rôti sur sa carcasse avec une poêlée de chanterelles et jus corsé (34€). Le service où figure son frère Yanice procède de ce même rapport plaisant à la nourriture, le tout fonctionne bien pour une clientèle de […]
Cet article Paris. Jaïs, oh celui- la m’avait échappé est apparu en premier sur SimonSays.